Acer Aspire ES 17 et linux... un combat dantesque.

Après avoir récupéré l'ordi de ma mère pour les petits, j'avais décidé de ne pas mettre de linux dessus, vu que c'était juste pour jouer à minecraft.

Sauf que win10 et ses mises à jour intempestives à la mords moi le noeud ont fini par avoir raison du système installé qui rebootait sans arrêt...

Papa se lance donc dans l'ajout de linux sur la bête.

démarrage sur l'usb live de linux mint

Déjà, là, ça a commencé à couiller...
Difficultés à booter sur la clé, résolues une fois que j'ai retrouvé comment avoir accès au bios puis à la liste de boot (echap/f12) J'ai désactivé le secure boot (après quelques recherches) mais le boot mode est grisé en UEFI.

IMG 20191020 173910.jpg

Ensuite, install normale et PAF ! ça a planté au moment de l'installation du paquet grub2, à la fin: écran freezé, curseur figé, clavier inactif. Bref, la totale.

Extinction au marteau-piqueur puis redémarrage pour tenter une réinstall complète avec écrasement de win.

Ecrasement de win

Je décide de laisser faire l'install de base mais en supprimant toutes les données. Spoiler; ça plante pareil. Je recommence en créant moi-même les partitions... pareil.

Modification de la partition de boot

Après recherche, j'ai essayé de modifier la partition sur laquelle le boot s'installe dans la partie permettant de choisir ses propres partitions. Que ce soit sur la partition EFI ou sur la partition /, rien n'y fait... ça plante pareil.

Après plusieurs autres tentatives et un nervous breakdown

j'essaie une debian de base, comme le premier Cyrille Borne venu, pour parvenir en gros au même résultat.

Tente avec un autre HD

pour un résultat identique...

retour sur linux mint et muni d'un nouveau tuto

Après moults recherches, je suis tombé sur un tuto donnant une procédure pour forcer l'install de grub après l'avoir sautée lors de l'install de mint.

L'installation se passe bien et je peux passer à la suite. Après plusieurs tentatives échouant à des endroits différents, le résultat reste le même, au bout du compte, aucune partition n'est bootable.

tentative avec bootrepair disk

De guerre lasse, je me fais un usblive de bootrepair disk et je démarre dessus... devinez quoi, il plante et freeze comme l'install de Mint.

Deux jours, une quinzaine de tentatives d'installation

pour rien... je m'y pète les dents.

Conclusion ?

Ben, tout d'abord l'UEFI ça fait chier. Voilà. Je sais, c'est pas nouveau, c'est fait pour ça, emmerder les linuxiens, mais ça me fait du bien de le dire.

Ensuite, et c'est rare, je commence à me dire que je vais devoir lâcher l'affaire et tenter de remettre un windows. J'en ai la bite qui fait des noeuds d'avance, mais là, franchement, je commence à sécher.

Une idée ?

EDIT : une solution dans les commentaires !

https://warriordudimanche.net/article1111/5dac319388f1d#c1111-12

(...)

EFI — Documentation Linux Mint Installation Guide : votre ordinateur ignore le menu grub et démarre directement sous Windows

Mon pc portable sentant le sapin, j'ai trouvé un pc d'occase sur le bon coin et je me suis empressé d'installer Mint dessus dès mon arrivée à la maison.

Or, curieusement, le menu de Grub n'apparaissait pas au démarrage et le pc démarrait directement sur la partoche win.

Si vous avez ce problème de démarrage, essayez les manipulations suivantes:

  1. forcez le démarrage sur linux (votre partition via le bios ou bien sur un liveCD/USB)
  2. ouvrez un terminal et tapez
    sudo efibootmgr
    pour obtenir l'ordre de démarrage
  3. notez le numéro de votre partition «ubuntu»
  4. tapez la commande suivante en mettant le numéro noté en premier:
    sudo efibootmgr --bootorder Numéro ubuntu,Numéro win

Normalement, au démarrage, ça doit être réparé (sinon, vérifiez dans le BIOS l'état de l'option de système legacy)

Sinon, pour ceux qui me suivent sur le mammouth, je suis très content de mon acquisition, un PC hp aux specs supérieures à mon pc précédent:

  • 16 go de ram
  • Intel I7
  • Nvidia geForce
  • SSD 1To
  • écran tactile 1920*1080
  • clavier rétroéclairé le tout pour 450 €, c'était valable

Impôt sur le revenu: Le gouvernement veut aller vers le «prélèvement à la source» - 20minutes.fr - Le Hollandais Volant - Choses vues, sur le web et ailleurs

https://sammyfisherjr.net/Shaarli/?1t70vw +1 https://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?omj9JQ +1

Gros +2

Si certains lecteurs pensent qu'il s'agit d'une exagération/théorie du complot, voyez l'angleterre: dans ce domaine ils ont deux générations d'avance grâce à Tâte-Chair (éducation/chemins de fer etc).

On dégrade le service public, on le montre du doigt, les gens gueulent sans rien piger, ça marche de moins en moins, on remplace par du privé en prétextant que ce sera mieux géré, que la concurrence c'est bon pour le con-sommateur, et PAF! c'est le contraire qui se produit.

L'éducation en angleterre/aux usa, c'est ça: un service public tout pété pour les pauvres et le privé pour les riches. Les seuls qui obtiendront quelque-chose à la fin.

A chaque fois qu on tape sur les services publics sans nuancer son propos  on fait le jeu de ceux qui souhaitent nous en priver .jpg

Comme je dis souvent   méfiez-vous de ce que vous souhaitez parce qu à force  ça arrive   .jpg

(...)

Patterns for Practical CSS Custom Properties Use | CSS-Tricks

Un article très intéressant sur l'utilisation des variables en css. Je note ici quelques aspects qui ont attiré mon attention.

Définir des valeurs par défaut

var() permet de spécifier des valeurs si la variable css n'en a pas, par exemple:


.message {
  background-color: var(--student-background, #fff);
  color: var(--student-color, #000);
  font-family: var(--student-font, "Times New Roman", serif);
  margin-bottom: 10px;
  padding: 10px;
}

Ainsi, on peut adapter finement le contenu des variables en fonction de sélecteurs un peu custom tout en gardant un aspect par défaut:


[data-student-theme="rachel"] {
  --student-background: rgb(43, 25, 61);
  --student-color: rgb(252, 249, 249);
  --student-font: Arial, sans-serif;
}

Ce qui permet par exemple d'avoir un style à fort contraste pour un profil particulier sans redéfinir toutes les balises, simplement en affectant de nouvelles valeurs aux variables.

Définir des valeurs spécifiques à une classe

On peut également, dans le même esprit, définir les valeurs au sein d'une classe toujours dans l'idée d'éviter une réécriture et de rendre la feuille de style plus lisible et claire.

les variables inline

Un autre truc auquel je n'aurais pas pensé, c'est de redéfinir les variables css inline ! (attention, idée de génie, je trouve):

1- on définit la classe grid avec une variable par défaut.


.grid {
  --columns: auto-fit;
  display: grid;
  gap: 10px;
  grid-template-columns: repeat(var(--columns), minmax(0, 1fr));
}
  1. on change la valeur de cette variable de façon ponctuelle et contextuelle via l'attribut style de la balise:

<div class="grid" style="--columns: 3;">
  ...
</div>

c'est juste beau

Burning Out and Finding Stability - Destroy Today - HowTommy | Liens et actu en vrac

«Un taf, qu'il soit une passion ou non, doit rester limité dans le temps. Si vous dépassez les 40h par semaine de dev, vous vous ferez juste du mal.»

«N'oubliez jamais une chose : si vous décédez du jour au lendemain, votre patron vous remplacera juste.»

Pas mieux... Le travail n'EST PAS la vie...

Merci pour ce post ;-)

How to Create a Simple PHP Templating Function - Daggerhart

Mouais... le templating, au départ, c'est plutôt pour séparer le code PHP du HTML (l'objectif étant de permettre de bosser à plusieurs avec chacun sa spécialité sans se parasiter, déjà)

Du coup, je vois pas trop en quoi c'est du templating: ce sont des fichiers php avec des bouts de php dedans.

Pour y avoir réfléchi pas mal afin d'améliorer mon code, notamment dans mon «framework» perso, l'idée du templating est d'avoir des fichiers HTML que le PHP vient compléter selon une certaine logique, qui varie en fonction des frameworks.

Pour ma part, j'ai opté pour des fichiers HTML contenant des «balises» entre double accolades dont le contenu sera interprété selon certaines règles par la classe template:

  • {{$variable}} ou {{CONSTANTE}} : affiche le contenu de la variable ou de la constante
  • {{"texte"}} : affiche le texte si possible traduit (en fonction de la configuration de langue d'une autre classe si elle existe dans le projet)
  • {{objet->methode(parametres)}} : fait appel à la méthode en question si celle-ci est publique et que l'objet fait partie des dépendances injectées via une variable de contexte.

On peut également transmettre des données ponctuelles servant à «remplir» le template via un array passé en paramètre selon le principe "string_à_remplacer"=>"valeur".

... et c'est tout.

ça donne des fichiers tpl du genre:


header.html

<!DOCTYPE html> <html> <head> <title>{{APP_NAME}} - {{CURRENT_PAGE}}</title> <link rel="stylesheet" type="text/css" href="http://warriordudimanche.net/{{APP_CSS}}style.css"> <link rel="icon" type="image/svg" href="http://warriordudimanche.net/{{APP_IMG}}favicon.svg"> <link rel="favicon" type="image/svg" href="http://warriordudimanche.net/{{APP_IMG}}favicon.svg">

</head>

<body class="{{CURRENT_PAGE}} {{app->isMultiple()}}" id="top"> {{this->render('menu')}} <main>

menu.html

<nav class="classe{{CURRENT_PAGE}}"> <li><a href="http://warriordudimanche.net/?p=home">{{"Accueil"}}</a></li> <li><a href="http://warriordudimanche.net/?p=5eme">5eme</a></li> <li><a href="http://warriordudimanche.net/?p=4eme">4eme</a></li> <li><a href="http://warriordudimanche.net/?p=3eme">3eme</a></li> <li><a href="http://warriordudimanche.net/?p=fiches">{{"Fiches"}}</a></li>
<li><a href="#" id="fullscreen" >Plein écran</a></li>
</nav>

on voit que le template header.html appelle à son tour le template menu, ce qui permet d'avoir des templates imbriqués et donc une grande «réusabilité» de chaque élément.

Le templating permet également d'éviter la dispersion du code PHP: quand on place des bouts de trucs et de machins partout ça devient vite illisible (et j'en sais quelque-chose). Le templating te force à organiser l'ensemble selon une logique qui te permet de t'y retrouver (et de retrouver où ça couille quand ça couille) (et ça couille toujours) (en fait, ça couille de source)( gag)

Souvent  mon code est devenu tellement illisible à force de patcher à la scie sauteuse entre deux portes que je préfère tout reprendre du début .jpg

 Répéter  couille plusieurs fois d affilée gratuitement  check  .jpg

Je ne m'étends pas davantage dessus vu qu'on peut trouver plein de ressources sur le templating en PHP et que pour en dire plus, il faudrait que je m'étende davantage sur mon «framework»

Via https://nicolas-delsaux.hd.free.fr/Shaarli/?_D5cZQ

Impression3D: outil centreur

Un petit outil de mon cru qui combine un trusquin simpliste et un «centreur» dont j'ai vu des exemples sur pinterest: Il permet de tracer un trait pile au centre d'un chevron par exemple sans faire de mesure; on coince la pièce entre les roulements et on déplace le bouzin tout le long du chevron: le crayon reste bien centré au milieu.

Pour tracer des traits à 5,10,15 ou 20mm du bord, il suffit de placer la pointe du crayon dans l'encoche correspondante et de glisser le long du bord.

Capture du 2019-10-08 14-51-37.png

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Je fais pas plus long vu que je fais faire la lecture à mon gamin en même temps et que j'ai du mal à me concentrer.

𝙰𝚜𝚖𝚘𝚍𝚎𝚎 sur Twitter : "En français il y a quelqu’un qui a demandé à la prof pourquoi on ne peut plus dire "mademoiselle" et elle a répondu quelque chose de tellement beau "Car une fille n’a pas besoin d’être mariée pour être une femme." Cette prof est géniale moi j’vous le dis"

Superbe, court, concis, imparable.

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