Blasphemy Day, also known as International Blasphemy Day or International Blasphemy Rights Day, educates individuals and groups about blasphemy laws and defends freedom of expression, especially the open criticism of religion which is criminalized in many countries.
Un petit Rowan Atkinson ?
via SebSauvage (Merci pour cette découverte ( ^^)o自自o(^^ ) )
– Ouais salut, donc toi tu vas faire que des jeux Facebook pour aspirer un maximum de données personnelles. – Ha! OK. Mais du coup je fais des jeux c’est cool! – Mais non ferme là, c’est une boite externe qui fait les jeux, t’es con ou quoi? Toi tu fais juste l’aspirateur de données personnelles. Et vas-y franchement on veut du gros, du sale, du poilu, les mails, les photos, les amis, les téléphones tu mets tout open-bar. Personne ne lit, ça clique OK, on y va franchement.
Et je te parle même pas du code legacy ! Beaucoup de monde ne fait que nettoyer la merde des autres pendant un moment. Tu vas pas travailler pour la NASA, tu vas nettoyer du caca.
Il te faut un niveau absurde de concentration. Il te faut maintenir cette concentration pendant des heures seul face à l’écran. Ensuite, c’est des heures passées à rechercher des codes d’erreurs sur Google et à lire des documentations interminables.
[...] c’est loin d’être le paradis qu’on t’a survendu partout [...] Acceptons la réalité que parfois c’est tout moisi. Comme tous les boulots de la terre.
Histoire de proposer autre-chose que le pachydermique Tailwind, j'ai regardé les frameworks css légers... Petite sélection (les poids sont présentés non gzippés)
C'est pas indécent et l'aspect, pour être assez épuré et minimaliste, n'en reste pas moins très satisfaisant.
De plus, il dispose d'une panoplie de styles «admin» et je trouve ce concept intéressant.
Comme Muicss, l'ensemble est assez minimaliste ce qui a l'avantage d'être facilement adaptable.
Un détail particulier a attiré mon attention: la philosophie d'InvisCSS est d'éviter la multiplication de classes pour appliquer les styles:
<button class="btn btn-primary">Primary Button</button> // bootstrap
<button class="pure-button pure-button-primary">Primary Button</button> // pureCSS
<button class="primary">Primary Button</button> // InvisCSS
Deux choses ont attiré mon attention: le nom et le fait que c'est réalisé par la Ubuntu Web Team. Le truc semble assez complet et bien foutu même si le style reste assez austère à première vue. La page de démo permet de se faire une idée précise des possibilités qui semblent assez étendues.
Toutefois, impossible d'avoir une évaluation du poids réel du machin car il utilise sass, ce qui me semble un comble pour un framework qui se fait appeler vanilla...
KNACSS prend en charge les styles de base, mais également la typographie, les modèles de boîte, les alignements et positionnements d’éléments, les grilles de mise en page, dans l’esprit d’être adapté à toutes les tailles d’écran (responsive). Le tout automatiquement, en l'appliquant simplement sur votre structure HTML.
Le style est assez basique mais très fonctionnel et sa simplicité permet là encore de le customiser facilement, le tout pour 37ko. Si vous avez besoins des onglets, il faudra ajouter 4.5ko de js.
A tester donc. Download - Site web
Le style est très coloré avec des contrastes de couleur peut-être un peu violents; les éléments de base sont présents, sans effets fancy, ce qui est normal pour un poids aussi réduit. Je vois bien ce framework pour une appli destinée aux plus jeunes.
Il y en a encore beaucoup mais ils se limitent souvent à une standardisation/reset de styles ou alors ils sont très moches...
Pour la plupart, ils n'atteignent pas les fonctionnalités des poids-lourds du genre, et c'est normal: ce n'est pas ce qu'on attend d'eux... Si vous utilisez 10% d'un bootstrap autant utiliser autre chose. Ces frameworks me semble suffisants pour la plupart des productions persos.Tiens, ça peut être intéressant: j'aime bien les frameworks css mais le poids est souvent un souci. En général, j'utilise muicss dont la base fait 7ko minifiée... toutefois, les effets sont moins beaux.
[EDIT]
Ouate ze phoque ? 477 ko pour du CSS... fous le camp me ranger ta chambre toi ! A côté, Bootstrap fait figure d'anorexique déshydraté !
Alors, oui, on peut utiliser purgeCss dessus pour virer ce qu'on n'utilise pas, mais ça, on peut le faire sur tous les frameworks et en plus, ça complique singulièrement le boulot.
Nous n’évoquerons donc pas les affaires (emplois fictifs, marchés publics, HLM, faux électeurs, frais de bouche, voyages, etc.), symptomatiques d’une « certaine idée de la politique ».
Nous ne reviendrons pas non plus sur la reprise des essais nucléaires en 1995, aberration écologique, fuite en avant militariste et symbole d’une attitude néocoloniale à l’égard de la Polynésie.
À ce dernier propos, nous ne parlerons pas du massacre de la grotte d’Ouvéa, en mai 1988, au cours duquel 19 indépendantistes kanaks furent tués lors d’un sanglant assaut ordonné par Jacques Chirac, alors Premier ministre.
Ce n’est pas non plus le moment de se souvenir des déclarations de Chirac, le 19 juin 1991, sur « le bruit et l’odeur » des étrangers, illustration précoce de la reprise par la droite dite « républicaine » des thématiques les plus nauséabondes du Front national.
Nous ne mentionnerons pas davantage la participation active de Jacques Chirac à l’entretien des réseaux de la Françafrique, illustrée notamment par ses belles amitiés avec les dictateurs Omar Bongo, Blaise Compaoré ou Denis Sassou Nguesso.
Nous ne reviendrons pas plus sur ses politiques favorables aux ultra-riches (privatisations de 65 groupes industriels et financiers et suppression de l’ISF en 1986…) et destructrices pour les salariéEs (suppression de l’autorisation administrative de licenciement en 1986, plan Juppé de 1995, réforme des retraites en 2003…).
Nous ne parlerons pas, enfin, de ses ministres de l’Intérieur, Charles Pasqua, Jean-Louis Debré, Nicolas Sarkozy, de leurs politiques répressives et racistes, du sort réservé aux sans-papiers de Saint-Bernard en 1996 ou de l’assassinat de Malik Oussekine en 1986.
Bref, Jacques Chirac est mort et nous ferons preuve, comme tous ceux qui s’expriment en boucle sur les chaînes d’information et les réseaux sociaux depuis ce midi, de retenue.
ça, c'est fait...
En ce moment, je me pose une question que la plupart des gens doivent sans doute se poser à un moment ou un autre de leur carrière: est-ce que je peux encore continuer comme ça 20 ans ?!
Cette question s'est imposée à moi encore plus fort et plus tôt cette année... je me suis demandé pourquoi et surtout, pourquoi ça générait autant d'anxiété.
En faisant l'image de titre, j'ai résumé le souci.
J'en ai assez de mener des combats d'arrière-garde avec des gamins ayant de moins en moins envie d'obtenir le moindre résultat positif.
J'ai 47 ans et certains jour j'en ai marre de me battre contre la mauvaise foi et la provocation de certains mômes.
Je me lasse de répéter autant et il me semble que quoi que je change, j'en reviens toujours aux mêmes situations.
J'en ai raz le pif des injonctions contraires de l'éducation nationale qui demande plus avec moins... toujours moins.
J'en ai plus qu'assez d'avoir le sentiment d'être plus ou moins méprisé (ya qu'à voir le salaire gelé depuis 7 ans)
Je n'ai plus les 25 ans du début de ma carrière: je me sens moins patient, c'est un fait, mais je commence à m'en foutre un peu, certains jours... à force de perdre de l'énergie au quotidien à essayer de faire bosser les mômes, on s'use. De toutes façons, j'ai l'impression que soit tu prends de la distance soit tu fais une dépression... (ou alors, tu t'investis dans toutes les réformes à la con avec un enthousiasme pathétique comme certains de mes collègues qui sont toujours adeptes des feux de pailles pédagogiques... mais bon, moi j'ai une vie et des projets à côté)
De plus, j'en peux plus d'être obligé de parler toute la journée sans pouvoir prendre de pause quand j'en ai besoin. On ne s'en rend pas compte de l'extérieur, mais «assurer le show» toute la journée est épuisant, surtout quand tu fais le bilan du résultat.
Ma collègue d'espagnol, qui est devenue prof «à cause de moi» m'a encouragé l'autre jour en me disant que ce que j'apporte aux élèves dépasse très largement le domaine pédagogique. Certes, mais c'est crevant.
Plus le temps passe, plus je deviens ours et plus je pourrais passer de temps seul et sans rien dire.
...mes potes -enseignants pour la plupart- me disent que je suis un des rares qui pourrait faire autre-chose du fait de mes compétences en programmation ou en informatique en général.
Et ils pensent me faire du bien... alors que c'est le syndrome de superman:
J'ai envie de faire autre chose... au moins sur une partie de la semaine ou pour quelques années.
Mais je me heurte à plusieurs angoisses terribles:
A 47 ans et avec 4 enfants, tu ne lâches pas un taf assuré à vie. Non. En plus, je culpabilise: j'ai l'impression de me plaindre la bouche pleine quand tant d'autres sont dans les emmerdes de taf, de famille etc.
Grosse grosse angoisse, ça: je suis un autodidacte, un vrai. Démerdard et bricoleur mais sans diplôme d'informatique en poche, ça vaut que dalle. En plus, je suis un lent: je viens à bout de la plupart des choses, mais parfois, faut que je creuse, que ça mûrisse... Autant de choses qui ne posent pas de problème quand tu codes dans ton bureau mais qui me semblent incompatibles avec un taf en entreprise.
Et si, une fois le bord de la piscine lâché, je m'aperçois que je ne suis pas à la hauteur ?! J'en dors pas.
En plus, mon boulot de prof m'a laissé du temps pour m'occuper vraiment de ma famille, d'être là à la plupart des moments de leur vie. Un taf différent, ça signifierait sans doute des horaires moins compatibles avec eux. (sans rire )
Enfin, il y a le problème de la mobilité: je vis en rase campagne Normande... Bosser dans l'informatique ne ce fera pas sans déménagement... encore un truc imposé à ma famille.
Mon épouse à dégoté l'email d'un dev' qui bosse à Kosmos, entreprise développant l'ENT (espace numérique de travail) et, voyant que je n'écrivais pas, elle m'a préparé l'email pour que je le fasse.
Après un entretien téléphonique avec une DRH très sympathique et agréable, la conclusion est celle à laquelle je m'attendais: il faudrait que je fasse une formation (au moins java).
Ça veut dire congé de formation, mais du coup, après un congé de formation, je devrai de toutes façons bosser encore 3 ans dans l'éducation nationale avant d'aller voir ailleurs.
Les caractères espagnols, sous linux ou windows, c'est un peu la merde: ya bien des astuces mais rien de vraiment fluide.
Et en plus c'est en standard
Comme j'ai du mal à lâcher l'affaire d'une façon générale et à accepter de perdre face à un ordinateur en particulier (les objets nous veulent du mal, j'en parlerai une autre fois ), j'ai repris mes recherches pour faire une appli simpliste de «labo de langue» qui soit universelle et fasse pas chier quand on en a besoin.
J'avais déjà essayé des trucs, via un .swf notamment (t'as qu'à voir à quel point de désespoir j'en étais rendu)... mais quoi que je ponde, ça fait chier à un moment ou un autre: Soit c'est la capture qui fonctionne pas, soit c'est la compression qui merde... bref.
Je fouine un peu et je tombe sur Web audio recorder : une lib assez simple et qui semble bien fonctionner, même sur android.
Je cherche à tester en local, mais ça veut pas. Je me dis que c'est ptêt parce que j'ai pas de micro branché (oui, je sais, mais bon)... j'ai pas de micro. Je cherche à tester sur mon portable ou mon hybride... marche pô en local.
Pour faire court, je viens de m'apercevoir que navigator.mediaDevices n'est disponible qu'en contexte... https.
Bon, ben, voilà...
Un excellent point sur la réforme des retraites qui permet de comprendre facilement pourquoi on va se faire avoir dans les grandes largeurs.
Les Composants Web sont un moyen de créer des éléments HTML perso encapsulant leur architecture, leur logique de fonctionnement et leur style.
Voilà qui me sera sans doute utile... un jour.
Je me joins aux condoléances de la river.
Bon courage pour traverser ce moment que nous redoutons tous.
On pense à toi.
Rien à ajouter à ce que HowTommy a écrit: c'est de la propagande pure et simple.