Top 8 des techniques pour se souvenir des prénoms, merde comment il s’appelle, déjà ?

Ha oui, ça, c'est limite un handicap chez moi...
Je n'oublie aucun visage, mais par contre, impossible de mémoriser les noms pour les ressortir quand j'en ai besoin.
C'est devenu une telle angoisse que j'ai développé inconsciemment de multiples stratégies d'évitement.

Pour mémoriser les prénoms de mes 200 élèves par an, c'est un CAUCHEMAR...

Note : liens de liens - HowTommy | Liens et actu en vrac

Hop, je me copie colle ici pour un usage ultérieur:

Pour ceux que ça intéresse, j'ai eu une très longue conversation avec un ami d'enfance ce samedi sur des tas de sujets : racisme, sexisme, état, politique, économie, star wars, etc.
Et cet ami, plutôt réceptif, m'a demandé d'avantage de liens pour mieux comprendre tout ce que j'ai pu aborder. Du coup j'ai fait une compilation de liens pour l'aider à sortir de sa place de "dominant homme blanc cis hétéro valide" et de comprendre un peu ce que vivent les non-dominants.

Du coup voici la compilation :
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Déjà, s'il n'y a qu'un seul site / blog que tu as le courage de lire, je te conseillerais celui-ci :

---> https://emmaclit.com

Tout sous forme de BD, facile à lire, bien écrit, très juste dans la plupart des articles... Je pense qu'on peut difficilement faire mieux que ce blog. Mon conseil serait d'essayer de comprendre, d'assimiler, de te mettre à la place des gens. Ca se lit vite et bien :)

Et en plus spécifique :

Travail / argent / économie

LA vidéo qui te fera comprendre la réalité du monde du travail, des fiches de paye, de l'économie, etc. Avec pas mal d'humour, un peu longue, mais qu'il faut VRAIMENT voir. C'est une vidéo qui, selon moi, devrait être diffusée dans tous les lycées chaque année : https://www.youtube.com/watch?v=nhUBR84OrxQ
L'assurance chomage ET le RSA sont excédentaires... http://liens.vader.fr/?ytNkKA
Pourquoi travailler plus n'est pas une solution, et pourquoi il faudrait diminuer le nombre d'heures travaillées http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?7Ab0SA
Le travail salarié, c'est faire passer le travail avant la santé : http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?hCr9Vw
L'objectif du capitalisme : http://liens.howtommy.net/?Pu7lLw
La vraie vision du paysage politique Français : http://pics.howtommy.net/photos/Divers/echiquier%20politique%20v2.png
S'ils pouvaient nous payer moins, ils le feraient : https://thenib.com/if-they-could-pay-us-less-they-would
Les mots sont importants, le mot projet qu'utilisent les politiques remplace les autres mots pour une raison http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?62-_cg
Un court métrage qui résume bien le système actuel : https://www.youtube.com/watch?v=EwK9glIxIoo

Racisme

4 réponses appropriées quand on parle du sujet Théo et de son viol par les policiers http://contre-attaques.org/magazine/article/les-4
En tant qu'homme blanc du 21ème siècle, je n'ai jamais bénéficié du racisme ! https://pbs.twimg.com/media/BvlHD1cCQAAMs0n.jpg
Un bon résumé du racisme anti-blancs : http://liens.howtommy.net/?XhlAng
Pourquoi voter contre Le Pen est important : https://www.youtube.com/watch?v=OswP6dfhOdY
Ces migrants ils n'ont qu'à rester chez eux plutôt que de venir et mourir dans nos montagnes https://pbs.twimg.com/media/C8rDBpzXkAIA-eY.jpg
Quand on est habitué aux privilèges, l'égalité se ressent comme de l'oppression http://liens.howtommy.net/?H169Yg

Sexisme

Le quotidien des femmes en BD, vive le harcèlement : http://projetcrocodiles.tumblr.com/
Le récit d'un homme qui a découvert le sexisme https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=961186633954615&id=438071062932844
Ou encore ce que les hommes ne SAVENT PAS : http://www.huffingtonpost.fr/gretchen-kelly/ce-que-lon-fait-toutes-et-que-les-hommes-ne-font-pas_b_8645540.html
La friendzone, ça n'existe pas. http://liens.vader.fr/?mX714A
Le harcèlement, pour les femmes, c'est quotidien. La sidération : http://www.gqmagazine.fr/sexactu/articles/silence-sideration/42097

Police

La police n'est pas là pour protéger, mais pour blesser : http://www.lesinrocks.com/2016/05/29/actualite/violences-policieres-lobjectif-nest-plus-de-repousser-groupe-de-blesser-individus-11832511/
La police n'en a rien à foutre des règles. Ils veulent juste qu'on leur obéisse : https://medium.com/@LucasCitoyen/aujourdhui-un-policier-m-a-menac%C3%A9-de-mort-on-sait-o%C3%B9-tu-habites-on-te-surveille-90c2ba601997#.drs3uir6w
Rouée de coups à mon domicile sous les yeux de mon fils par la police : https://blogs.mediapart.fr/frozange/blog/180516/roue-de-coups-mon-domicile-sous-les-yeux-de-mon-fils-par-des-agents-de-police
Les potes de Garde à Vue : https://iaata.info/A-Bilal-mon-pote-de-garde-a-vue-1404.html
Quand la police tue quelqu'un sans raison, encore http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/03/28/tensions-dans-le-19eme-arrondissement-apres-la-mort-d-un-homme-tue-par-un-policier_5101611_1653578.html

Loisirs / sport

Des millions d'heures sont juste volées à la vie des gens, car les smartphones sont là pour nous exploiter : http://liens.howtommy.net/?7C5VXA
Une BD magnifique sur notre confort et le bonheur http://imgur.com/u8KlE05
Le plaisir n'a rien à voir avec le bonheur : http://liens.howtommy.net/?lrS3FQ
Dans la vie il faut se dépasser pour être heureux : http://liens.howtommy.net/?1qPH7g
Laisse tomber ta motivation. Apprends à te discipliner : http://liens.howtommy.net/?CAKQrA
Le sport n'est pas le meilleur moyen de perdre du poids : https://www.youtube.com/watch?v=eXTiiz99p9o

Conseils et astuces

Être pragmatique est bien plus utile que d'avoir raison : https://marco.org/2012/02/25/right-vs-pragmatic
Comment s'excuser : http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?w-AF6A
La carte de la maturité : https://framapiaf.org/system/media_attachments/files/000/018/045/original/68b5091a45d11cdf.jpg?1493122610
Comment fonctionne un pervers narcissique et comment agir (exemple : Trump) : http://liens.vader.fr/?WJF1iA

Humanité

Bien comprendre la liberté d'expression, la critique et ce qu'on doit / peut faire : http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?UDWd3A
Les gens ne naissent pas méchants, sexistes, racistes, etc. La majorité des gens qui font du mal ne le font pas consciemment. Ils sont construits comme tels : http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?oZMNrg
L'humour ce n'est jamais juste "pour blaguer". C'est une arme : rue89.nouvelobs.com/2016/08/11/cest-juste-blaguer-vraiment-lecon-dun-avocat-twitter-264902

Michel Onfray ou le mal qu'Internet peut faire à l'intellectuel

Ce qui est passionnant dans cette histoire, c’est la manière dont le médium qui véhicule une pensée lui imprime nécessairement une forme. Le livre a formaté la pensée, c’est évident, et largement documenté. Quand au début des années 1970, les Nouveaux Philosophes sont apparus, il leur a beaucoup été reproché - à juste titre - de se couler dans le moule télévisuel.

Internet est peut-être aussi en train de donner une forme à la vie intellectuelle. Mais ça ne va pas sans accident, et là, l’accident semble avoir eu lieu. L’ironie de l’Histoire, c’est que Michel Onfray a été un critique farouche des Nouveaux Philosophes, pour le fond de leur pensée et la forme caricaturale que la télévision lui a donné.



Via Riff's Links


Café des blogueurs: Stéphanou

Stéphanou
@notabene

NB : je ne code pas mais je crois que la codocratie n'est pas la seule alternative dans l'OSS. L'open source a besoin de gens qui sont simples utilisateurs, de gens qui font des tickets UX, acessibilité, etc.

Les projets qui ne le comprennent pas sont condamnés à ne jamais être grand public.

Je reposte ici ma réaction:

@notabene
Je suis tout-à-fait d'accord: un codeur ne peut pas tester correctement son appli, il est trop impliqué et il la connait trop bien.

On a BESOIN des usagers qui sauront remonter leur opinion, leurs idées et surtout les bugs qu'ils ont rencontrés en utilisant "mal" l'appli: ça permet au codeur d'améliorer considérablement son travail.

MERCI à tous ceux qui prennent le temps de tester et de remonter leurs conclusions !

Pour un savoir engagé, par Pierre Bourdieu (Le Monde diplomatique, février 2002)

Je me copicolle ici pour lecture ultérieure:


S’il est aujourd’hui important, sinon nécessaire, qu’un certain nombre de chercheurs indépendants s’associent au mouvement social, c’est que nous sommes confrontés à une politique de mondialisation. (Je dis bien une « politique de mondialisation », je ne parle pas de « mondialisation » comme s’il s’agissait d’un processus naturel.) Cette politique est, pour une grande part, tenue secrète dans sa production et dans sa diffusion. Et c’est déjà tout un travail de recherche qui est nécessaire pour la découvrir avant qu’elle soit mise en œuvre. Ensuite, cette politique a des effets que l’on peut prévoir grâce aux ressources de la science sociale, mais qui, à court terme, sont encore invisibles pour la plupart des gens. Autre caractéristique de cette politique : elle est pour une part produite par des chercheurs. La question étant de savoir si ceux qui anticipent à partir de leur savoir scientifique les conséquences funestes de cette politique peuvent et doivent rester silencieux. Ou s’il n’y a pas là une sorte de non assistance à personnes en danger. S’il est vrai que la planète est menacée de calamités graves, ceux qui croient savoir à l’avance ces calamités n’ont-il pas un devoir de sortir de la réserve que s’imposent traditionnellement les savants ?

Il y a dans la tête de la plupart des gens cultivés, surtout en science sociale, une dichotomie qui me paraît tout à fait funeste : la dichotomie entre scholarship et commitment — entre ceux qui se consacrent au travail scientifique, qui est fait selon des méthodes savantes à l’intention d’autres savants, et ceux qui s’engagent et portent au dehors leur savoir. L’opposition est artificielle et, en fait, il faut être un savant autonome qui travaille selon les règles du scholarship pour pouvoir produire un savoir engagé, c’est-à-dire un scholarship with commitment. Il faut, pour être un vrai savant engagé, légitimement engagé, engager un savoir. Et ce savoir ne s’acquiert que dans le travail savant, soumis aux règles de la communauté savante.

Autrement dit, il faut faire sauter un certain nombre d’oppositions qui sont dans nos têtes et qui sont des manières d’autoriser des démissions : à commencer par celle du savant qui se replie dans sa tour d’ivoire. La dichotomie entre scholarship et commitment rassure le chercheur dans sa bonne conscience car il reçoit l’approbation de la communauté scientifique. C’est comme si les savants se croyaient doublement savants parce qu’ils ne font rien de leur science. Mais quand il s’agit de biologistes, ça peut être criminel. Mais c’est aussi grave quand il s’agit de criminologues. Cette réserve, cette fuite dans la pureté, a des conséquences sociales très graves. Des gens comme moi, payés par l’État pour faire de la recherche, devraient garder soigneusement les résultats de leurs recherches pour leurs collègues ? Il est tout à fait fondamental de donner la priorité de ce qu’on croit être une découverte à la critique des collègues, mais pourquoi leur réserver le savoir collectivement acquis et contrôlé ?

Il me semble que le chercheur n’a pas le choix aujourd’hui : s’il a la conviction qu’il y a une corrélation entre les politiques néolibérales et les taux de délinquance, une corrélation entre les politiques néolibérales et les taux de criminalité, une corrélation entre les politiques néolibérales et tous les signes de ce que Durkheim aurait appelé l’anomie, comment pourrait-il ne pas le dire ? Non seulement il n’y a pas à le lui reprocher, mais on devrait l’en féliciter. (Je fais peut-être une apologie de ma propre position…)

Maintenant, que va faire ce chercheur dans le mouvement social ? D’abord, il ne va pas donner des leçons — comme le faisaient certains intellectuels organiques qui, n’étant pas capables d’imposer leurs marchandises sur le marché scientifique où la compétition est dure, allaient faire les intellectuels auprès des non-intellectuels tout en disant que l’intellectuel n’existait pas. Le chercheur n’est ni un prophète ni un maître à penser. Il doit inventer un rôle nouveau qui est très difficile : il doit écouter, il doit chercher et inventer ; il doit essayer d’aider les organismes qui se donnent pour mission — de plus en plus mollement, malheureusement, y compris les syndicats — de résister à la politique néolibérale ; il doit se donner comme tâche de les assister en leur fournissant des instruments. En particulier des instruments contre l’effet symbolique qu’exercent les « experts » engagés auprès des grandes entreprises multinationales. Il faut appeler les choses par leur nom. Par exemple, la politique actuelle de l’éducation est décidée par l’UNICE, par le Transatlantic Institute, etc. Il suffit de lire le rapport de l’Organisation mondiale pour le commerce (OMC) sur les services pour connaître la politique de l’éducation que nous aurons dans cinq ans. Le ministère de l’Éducation nationale ne fait que répercuter ces consignes élaborées par des juristes, des sociologues, des économistes, et qui, une fois mises en forme d’allure juridique, sont mis en circulation.

Les chercheurs peuvent aussi faire une chose plus nouvelle, plus difficile : favoriser l’apparition des conditions organisationnelles de la production collective de l’intention d’inventer un projet politique et, deuxièmement, les conditions organisationnelles de la réussite de l’invention d’un tel projet politique ; qui sera évidemment un projet collectif. Après tout, l’Assemblée constituante de 1789 et l’Assemblée de Philadelphie étaient composées de gens comme vous et moi, qui avaient un bagage de juriste, qui avaient lu Montesquieu et qui ont inventé des structures démocratiques. De la même façon, aujourd’hui, il faut inventer des choses… Évidemment, on pourra dire : « Il y a des parlements, une confédération européennes des syndicats, toutes sortes d’institutions qui sont sensées faire ça. » Je ne vais en pas faire ici la démonstration, mais on doit constater qu’ils ne le font pas. Il faut donc créer les conditions favorables à cette invention. Il faut aider à lever les obstacles à cette invention ; obstacles qui sont pour une part dans le mouvement social qui est chargé de les lever — et notamment dans les syndicats…

Pourquoi peut-on être optimiste ? Je pense qu’on peut parler en termes de chances raisonnables de succès, qu’en ce moment c’est le kairos, le moment opportun. Quand nous tenions ce discours autour de 1995, nous avions en commun de ne pas être entendus et de passer pour fous. Les gens qui, comme Cassandre, annonçaient des catastrophes, on se moquait d’eux, les journalistes les attaquaient et ils étaient insultés. Maintenant, un peu moins. Pourquoi ? Parce que du travail a été accompli. Il y a eu Seattle et toute une série des manifestations. Et puis, les conséquences de la politique néolibérale — que nous avions prévues abstraitement — commencent à se voir. Et les gens, maintenant, comprennent… Même les journalistes les plus bornés et les plus butés savent qu’une entreprise qui ne fait pas 15 % de bénéfices licencie. Les prophéties les plus catastrophistes des prophètes de malheur (qui étaient simplement mieux informés que les autres) commencent à être réalisées. Ce n’est pas trop tôt. Mais ce n’est pas non plus trop tard. Parce que ce n’est qu’un début, parce que les catastrophes ne font que commencer. Il est encore temps de secouer les gouvernements sociaux-démocrates, pour lesquels les intellectuels ont les yeux de Chimène, surtout quand il en reçoivent des avantages sociaux de tous ordres…

Un mouvement social européen n’a, selon moi, de chance d’être efficace que s’il réunit trois composantes : syndicats, mouvement social et chercheurs — à condition, évidemment, de les intégrer, pas seulement de les juxtaposer. Je disais hier aux syndicalistes qu’il y a entre les mouvements sociaux et les syndicats dans tous les pays d’Europe une différence profonde concernant à la fois les contenus et les moyens d’action. Les mouvements sociaux ont fait exister des objectifs politiques que les syndicats et les partis avaient abandonnés, ou oubliés, ou refoulés. D’autre part, les mouvements sociaux ont apporté des méthodes d’action que les syndicats ont peu à peu, encore une fois, oubliées, ignorées ou refoulées. Et en particulier des méthodes d’action personnelle : les actions des mouvements sociaux recourent à l’efficacité symbolique, une efficacité symbolique qui dépend, pour une part, de l’engagement personnel de ceux qui manifestent ; un engagement personnel qui est aussi un engagement corporel.

Il faut prendre des risques. Il ne s’agit pas de défiler, bras dessus bras dessous, comme le font traditionnellement les syndicalistes le 1er mai. Il faut faire des actions, des occupations de locaux, etc. Ce qui demande à la fois de l’imagination et du courage. Mais je vais dire aussi : « Attention, pas de “syndicalophobie”. Il y a une logique des appareils syndicaux qu’il faut comprendre. » Pourquoi est-ce que je dis aux syndicalistes des choses qui sont proches du point de vue que les mouvements sociaux ont sur eux et pourquoi vais-je dire aux mouvements sociaux des choses qui sont proches de la vision que les syndicalistes ont d’eux ? Parce que c’est à condition que chacun des groupes se voie lui-même comme il voit les autres qu’on pourra surmonter ces divisions qui contribuent à affaiblir des groupes déjà très faibles. Le mouvement de résistance à la politique néolibérale est globalement très faible et il est affaibli par ses divisions : c’est un moteur qui dépense 80 % de son énergie en chaleur, c’est-à-dire sous forme de tensions, de frictions, de conflits, etc. Et qui pourrait aller beaucoup plus vite et plus loin si…

Les obstacles à la création d’un mouvement social européen unifié sont de plusieurs ordres. Il y a les obstacles linguistiques, qui sont très importants, par exemple dans la communication entre les syndicats ou les mouvements sociaux — les patrons et les cadres parlent les langues étrangères, les syndicalistes et les militants beaucoup moins. De ce fait, l’internationalisation des mouvements sociaux ou des syndicats est rendue très difficile. Puis il y a les obstacles liés aux habitudes, aux modes de pensée, et à la force des structures sociales, des structures syndicales. Quel peut être le rôle des chercheurs là-dedans ? Celui de travailler à une invention collective des structures collectives d’invention qui feront naître un nouveau mouvement social, c’est-à-dire des nouveaux contenus, des nouveaux buts et des nouveaux moyens internationaux d’action.



Pierre Bourdieu
Sociologue, professeur au Collège de France.

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