Et là, c'est pour la laïcité à l'école ?! ha, non, dans le sport quand on est représentant de la fRance. pfff...
I have a dream: ces concitoyennes françaises vont concourir pour un autre pays et elles gagnent les médailles d'or au détriment de la fRance... façon Mitra Hejazipour, cette championne d'échecs iranienne exclue de la compet en Iran pour avoir refusé de porter le hidjab et venue s'inscrire en france.
Des femmes, des championnes, exclues simplement parce qu'on refuse de les laisser s'habiller comme elles le souhaitent. Au moins, l'iran ne se cache pas derrière une prétendue laïcité pour ça.
(oui, je suis colère)
Ok, si on lit l'article, il est effectivement mentionné assez tôt qu'il est impossible de planter des arbres à cet endroit...
Pour autant, de faux arbres en «métal et d’aluminium» me paraissent un choix pour le moins discutable, en particulier par ces temps de canicule :
le métal en général et l'alu en particulier me semblent de trop bons conducteurs de chaleur... ils doivent chauffer très vite... si c'est pour se retrouver avec des radiateurs brûlants... Il y avait sans doute d'autres choix de matériaux moins thermiques, plus isolants et plus écologiques que l'aluminium (?)
Ce n'est pas parce qu'on ne peut pas planter des arbres dans le sol qu'il s'avère impossible de planter des arbres hors sol voire de planter autre chose que des arbres... Les moyens de créer de l'ombre en végétalisant intelligemment ne manquent pas, ne serait-ce qu'en créant un toit en treillis sur lequel on fait courir des plantes grimpantes (peu de racines contrairement aux arbres)...
Si l'objectif est celui de la lutte contre les excès thermiques, on pouvait sans doute commencer par éviter l'urbanisation telle qu'elle a été faite, refaire des jardins, remettre de l'herbe là où le goudron est omniprésent, faire moins de parkings ou les enterrer plus profond afin que les gens au-dessus puissent vivre... Parce que là, au bout du compte, le parking est prioritaire sur la surface: c'est lui qui dicte ce qu'on peut faire ou pas... et par extension, on priorise la voiture sur les gens.
Peut-être cette oeuvre n'est-elle pas si légitime que ça du point de vue écologique ou logique tout court...
Peut-être pouvait-on faire mieux, plus efficace, plus écologique, moins cher et moins bobo... quitte à ne pas se faire de la pub ou de la récupération politique (un truc "culturel" qui se voit beaucoup)...
Peut-être est-il objectivement absurde - même après lecture attentive de l'article - de choisir cette "solution" pour faire de l'ombre dans une ville bétonnée, goudronnée à outrance et entièrement dédiée à la bagnole...
Peut-être que, finalement, Seb et Timo n'ont pas si tort que ça d'avoir envie de se cogner la tête sur les murs...
Si après une MAJ vers linux mint 21.1 apache ne démarre plus et fait une erreur du genre
apache2: Syntax error on line 146 of /etc/apache2/apache2.conf: Syntax error on line 3 of /etc/apache2/mods-enabled/php7.4.load: Cannot load /usr/lib/apache2/modules/libphp7.4.so into server: /usr/lib/apache2/modules/libphp7.4.so: cannot open shared object file: No such file or directory
on peut rattraper le coup en désactivant php7.4 au profit de 8.1:
Cela tombe bien: cette ancienne architecte d'intérieur souhaite "prendre une pause" - elle travaillait auparavant à son compte. Et "quand on est professeur, on a les mercredis et les vacances", explique-t-elle.
Évidemment, hein, les profs ça fout rien, du coup ça te fera une pause dans ton vrai boulot...
Via https://lehollandaisvolant.net/?mode=links
Ben oui
Nous les profs on bosse, on prépare, on corrige, on planifie, on rédige, on compose des documents, on refait ce qui n'a pas marché, on réfléchit, on prévoit, on photocopie, on prépare des travaux numériques, on prépare les évaluations, on prépare les travaux de révision des évaluations, on rentre des notes et des appréciations, on entre des compétences, on répond aux emails quotidiens, on va aux réunion, aux conseils de classe, aux conseils pédagogiques, aux conseil des TICE, aux CA, aux conseils d'éducation pour certains élèves, on met à jour l'ENT, on réserve les ressources quand elles sont dispo...
Mais pas sur nos 18 h de cours (qui en fait en sont 20 puisqu'on peut nous imposer deux heures supp'.)
Non... sur nos heures de cours, on essaie de faire les activités prévues, on anime notre classe, on veille à ce que tous écoutent et s'impliquent, on garde en mémoire les difficultés de chacun, on note mentalement les élèves qui ont tendance à ne pas écouter, qui font autre chose, qui bavardent, qui semblent avoir des difficultés, qui ne comprennent pas, qui ne font pas l'activité, qui mâchent un chewing gum, qui n'ont pas leurs affaires... tout en gérant avec bienveillance le déroulement du travail, se rappelant ce qu'on prévoit de faire ensuite/ce que la classe est censée avoir déjà fait, maintenant le calme nécessaire au bon déroulement du cours, faisant en sorte que tout le monde suive, en répétant tout 15 fois, en mimant, en faisant deviner, en se souvenant qui a un PAP/un handicap/une dyslexie/une difficulté spécifique, en aidant, en encourageant, en motivant, en amusant pour que les mômes ne s'ennuient pas, en grondant quand c'est nécessaire, en maintenant une relation humaine complexe et équilibrée avec les mômes...
Malgré...
des classes à 30, une hiérarchie de plus en plus comptable et froide, un salaire gelé depuis dix ans qui se rapproche de plus en plus du smic, des augmentations liées à l'avancement qu'on met six mois ou un an à rendre effectives alors que si vous êtes absent vos heures supplémentaires sautent en une grosse matinée, toujours plus de tâches à faire hors pédagogie, un mépris pour vous et votre boulot, un système qui fait tout pour que rien ne fonctionne, qui force de fait les établissement à imposer les heures supp au détriment des postes de profs (HSA/Heures poste), des gens sur deux, trois voire quatre établissements... etc.
Et je ne mentionne même pas des projets et des EPI...
qu'on nous demande de faire, parce que là, on explose tout: je viens de faire une journée «Día de Muertos & Halloween» avec les collègues d'anglais... ça m'a bouffé tout mon temps libre depuis septembre: préparer les travaux et documents d'introduction, les activités linguistiques, les tutos, les panneaux à réaliser, les décorations, les chansons à chanter avec les élèves (et donc de travailler un peu les morceaux à la guitare), placer les décorations dans la salle... c'était très réussi mais parce que j'y ai employé tout mon temps et mon énergie pendant des semaines, sans compter mes heures, sans rien demander en échange...
Et pourtant
quand j'ai dû aller à Evreux pour amener mon grand à cette connerie de JDC, j'ai demandé les deux premières heures de la journée pour avoir le temps de faire l'aller-retour... l'adjointe m'a dit qu'elle trouverait quand les rattraper. Alors que le projet m'a pris des dizaines d'heures par semaine de temps perso.
Quand on râle sur le fait qu'on nous impose encore une énième connerie à faire, réunion, activité, la hiérarchie nous ressort toujours le fameux
«vous pouvez bien faire ça pour le bien des élèves»
Parce qu'en plus, on nous culpabilise. Le pire, c'est que si tu le fais, c'est normal et si tu ne le fais pas t'es pas un bon prof...
Comme toujours, le bookmarklet vous permet d'envoyer l'URL courante à Stamp: ouvrez l'image dans un nouvel onglet et cliquez sur le bookmarklet.
pour les plus observateurs
Bande de coquins, vous avez sans doute remarqué un autre bookmarklet à côté du premier... c'est un bookmarklet dynamique: grâce à lui vous pouvez créer des bookmarklets avec un texte spécifique.
Par exemple, si vous envisagez d'utiliser souvent le tampon «dans ton cul», pourquoi le retaper à chaque fois ? Glissez ce lien dans la barre de favoris et let's the fun begins !
Comme d'hab
Fait à l'arrache, interrompu toutes les minutes mais avec amour, dévotion à l'absurdité du monde et mon ordi.
«La biodynamie est maintenant à la mode. Elle a l’image d’une agriculture biologique, respectueuse, écologique, l’antithèse de l’industrie agroalimentaire qui abuse des intrants chimiques et sacrifie à sa logique productiviste les saveurs et les paysages. Mais si nous regardons le revers de cette mode, nous trouvons la doctrine sectaire de l’anthroposophie, des pratiques qui mélangent homéopathie, astrologie et pour tout dire magie, et surtout une pratique agricole qui n’appuie pas ses prétentions sur des données scientifiques mais sur la contagiosité de son idéologie.»
notes
Le groupe d'édition Acte Sud est anthroposophe et sert la cause de l'anthroposophie
Françoise Nyssen, anthroposophe convaincue, a été ministre de la Culture du gouvernement Édouard Philippe, sous la présidence d'Emmanuel Macron et présidente d'acte sud.
la NEF est une coopérative bancaire de financement exclusivement anthroposophique
La biodynamie est incompatible avec le veganisme (produits à base de cornes, vessie de cerfs, crânes d'animaux, sacrifices d'animaux etc)
les méthodes de productions biodynamiques en elles-mêmes n'ont pas d'impact négatif sur la santé ou les sols (comme l'homéopathie): au pire, ça n'a aucun effet quantifiable.
la biodynamie, c'est au moins bio à la base: la surcouche de croyance pseudo-scientifique-ésotérique reste un bullshit évident mais la base c'est un souci de naturel (si tant est que ce terme ait la moindre valeur)
Je me suis aperçu que mon plugin Plinstagram faisait des trucs étranges et refusait parfois de poster. Pensant à une erreur d'identification, j'ai repris le code mais rien n'y faisait.
Une fois la ruse très moche appliquée, ça semblait revenu à la normale. Puis j'ai décidé d'aller marcher un peu et j'ai pris des photos dans l'idée de tester à nouveau Plinstagram.
Et là, c'est le drame
J'ai beau tout essayer, pas moyen d'envoyer le post avec les photos... mais curieusement, j'aboutis à une erreur 404 et pas à une erreur d'exécution.
Je me dis que ça doit être un problème de taille de formulaire et je me rappelle que, comme un con, j'ai omis de virer l'input files du formulaire avant envoi.
J'explique rapidement comment fonctionne Plinstagram:
Côté JS
1 - l'utilisateur sélectionne des photos sur son ordinateur
2 - pour chaque image, le script js se charge de:
récupérer les images sélectionnées,
créer une miniature avec un canvas
stocker l'image réduite sous forme de donnée base64 dans un input hidden (avec le nom de fichier dans un autre input hidden) créés à la volée
Ainsi on obtient un $_POST[data] et un $_POST[filename] qui contiennent chacun un tableau avec les données de chaque image pour l'un et le nom de chaque image pour l'autre.
Quand on poste, le script vire l'input file pour éviter l'upload de grosses photos.
Côté PHP
Vient ensuite le hook AdminArticlePrepend de la page core/admin/article.php vers laquelle pointe le formulaire de plinstagram: celui-ci se charge de :
1 - parcourir l'array des images redimensionnées postées en base64,
2 - récupérer le nom de chaque image
3 - sauvegarder localement chaque image dans un sous-dossier dédié à l'article
4 - générer une galerie qu'il ajoute au corps du post
5 - finaliser la création des données de l'article.
À ce moment-là pluXML reprend la main et s'occupe du stockage de ces données.
Quand je teste en distant (sur WDD)
Avec une photo, tout se passe normalement. Si j'en mets ne serait-ce que deux, pluXML me renvoie à la page 404, comme si l'URL était fausse: or, il n'en est rien ! L'URL de la barre d'adresse est la bonne, celle du formulaire aussi... pourtant, avec plus d'une photo, la requête n'arrive jamais à core/admin/article.php
Pire, une fois sur la page 404, si je clique dans la barre d'adresse puis que j'appuie sur entrée, j'arrive sans encombre à la page voulue (mais sans les données de formulaire bien entendu): l'URL est donc bonne.
J'ai pensé à une redirection foireuse mais la seule redirection qui reste est celle qui se fait AVANT le formulaire et seulement dans le cas où l'utilisateur n'est pas connecté.
Et puis ça ne semble pas être la faute de mon script PHP vu qu'on n'arrive même pas jusqu'à lui (j'ai collé des exit('moncul'); partout pour voir et rien !)
Quand je teste en local... ô surprise!
TOUT FONCTIONNE SANS PROBLEME ! (le fameux «ça marche sur mon ordi»)
J'ai pensé à un problème de version de PHP: j'ai essayé de changer et c'est pas ça
j'ai songé à une limite de la taille de fichiers ou la limite de taille de post... c'est pas ça (puis ça générerait une erreur, pas un pseudo 404)
Pour résumer
Conclusion
J'en suis à me dire qu'il doit y avoir un genre de restriction pour la taille des données contenues dans des inputs et que cette restriction ne doit pas être la même en local.
Une autre piste que je dois explorer est une éventuelle incompatibilité entre deux plugins... Mais je vois pas lesquels et pis là, faut que j'aille pleurer d'abord.
EDIT dix minutes plus tard:
Tiens, la différence entre le local et le distant, c'est la configuration du rewrite URL dans pluXML: activée en distant. Je mets sur OFF et là, j'obtiens une erreur 406:
Not Acceptable: An appropriate representation of the requested resource could not be found on this server.
Qu'en est-il de l'ENT - en tout cas de celui qui est utilisé dans notre établissement - et de pronotes ?
ENT
Quand on regarde les différents appels faits par la page de l'ENT, on a la bonne surprise de constater que tout ce qui est chargé vient des mêmes serveurs (même jquery est hébergé en local): cas.ent27.fr / bv.ac-rouen.fr / [etablissement].ent27.fr / cdn.ent27.fr
Un dig/whois rapide nous rassure: ces serveurs sont tous hébergés en France (Rouen / Toulouse)
Une fois identifié, la liste de dépendances chargées augmente mais tout semble correspondre aux serveurs en question...
Sauf... un appel (bloqué chez moi par ublock origins): xiti.com
L'entreprise est rachetée en 2021 par l'américain Piano6.
Du coup, je refais un petit coup de dig/whois qui confirme mes craintes: xiti.com est bien hébergé aux USA par Amazon.
C'est con ça
Pourquoi diable faire appel à un service de statistiques: c'est si important que ça de savoir qui fait quoi ?!
Si c'est important, pourquoi ne pas utiliser un service hébergé en France ou mieux autohébergé pour faire ces mesures ? Surtout après avoir pris la peine de tout héberger en local, preuve de considération pour les bonnes pratiques quant aux fuites de données ?!
Donc, les données qu'Amazon récupère, consistent au strict minimum à :
l'IP du visiteur
la date et l'heure de l'accès
le système et le navigateur, voire même l'empreinte unique de l'utilisateur
Le tout croisé avec toutes les infos récupérées et identifiables via le numéro d'utilisateur de leur service... et éventuellement toutes les autres données des autres fichiers hébergés par Amazon... ou encore toutes les autres données hébergées par les américains ou sur le sol américain. (comment ça «parano» ?! je ne dis pas qu'ils le font mais qu'ils sont en mesure de le faire...) (et qu'ils s'en sont donné le droit : https://fr.wikipedia.org/wiki/CLOUD_Act )
Donc, ces données - qui entrent totalement dans le cadre des données personnelles couvertes par le RGPD - se retrouvent aux états-unis et sont donc soumises à une exploitation cachée incompatible avec l'usage initialement prévu que les utilisateurs français ont accepté (légal et légitime dans le cadre strict de l'éducation nationale)
Or, là, il y a un souci, car le RGPD est clair (Chapitre II artice 5 alinéa b) source
[Les données à caractère personnel doivent être :] collectées pour des finalités déterminées, explicites et légitimes, et ne pas être traitées ultérieurement d'une manière incompatible avec ces finalités; le traitement ultérieur à des fins archivistiques dans l'intérêt public, à des fins de recherche scientifique ou historique ou à des fins statistiques n'est pas considéré, conformément à l'article 89, paragraphe 1, comme incompatible avec les finalités initiales (limitation des finalités);
Donc, non, l'ENT n'est pas strictement RGPD.
(Pour ce qui est de pronote, également utilisé chez nous, je n'ai rien trouvé à reprocher, tout étant hébergé par index-education sur le sol français.)
Je me penche de plus en plus sur un projet de formation certifiante dans le développement, histoire de changer partiellement ou complètement de voie.
Mais alors, plus j'avance, plus j'ai l'impression que c'est un parcours du combattant destiné à décourager le croquant lambda
la demande de congé de formation
Déjà, très peu de congés de formation sont attribués dans l'éducation nationale (l'année dernière, 27 congés accordés pour 131 demandes sur mon académie.) Autant dire qu'il y a peu de chances de l'obtenir, surtout quand on sait qu'il y a un barème assez contraignant (favorisant les demandes ultérieures et les demandes restant dans la fonction publique): pour une formation comme celles que je vise, aucune bonification... je pars avec un handicap qui profite à ceux qui passent l'agreg'. Ok, je le note.
Ensuite, c'est soumis à l'avis favorable de... ma direction. Autant dire que là aussi, je pars pas gagnant vu le passif que je me trimballe avec mon chef.
Donc, en gros, je dois m'attendre à voir ma demande refusée pendant cinq ou six ans, histoire que je devienne trop vieux pour ça et que je me dise «plus que quelques années à tirer, tant pis» (j'ai 50 ans dans quelques mois...)
Le compte formation...
J'admets de suite que je suis particulièrement démuni face à tout ce qui de près ou de loin s'apparente à un problème administratif... ça, c'est fait. Toutefois, je trouve éminemment décourageant qu'en page d'accueil on m'annonce de suite 0€ de droits de formation au bout de 24 ans de maison. Après, c'est peut-être normal, j'ignore complètement comment on gagne ces droits.
Par contre, il semblerait que je dispose de 150 heures de «droits en heures». Aucune explication simple et intelligible pour le teubé de base
Pourtant des questions se posent: si je choisis une formation de 150h, celle-ci est-elle prise en compte complètement ? Si elle dépasse, dois-je payer au prorata du temps non pris en charge ? Ai-je tout faux ?
Les formations
Disons que je me dirige vers une formation diplômante en dév web (front+back), les prix varient leur race de la mère de leur mémé: d'environ 2000€ à carrément beaucoup plus... Heuuuu... un mois de salaire minimum. Ok. Dites-moi que c'est pris en charge, au moins un peu.
Note au passage, le site de recherche de formation moncompteformation.gouv.fr c'est bien de la merde pour feuilleter les formations: quel est le sombre connard qui a trouvé malin d'empêcher l'ouverture des fiches descriptives de chaque formation dans un onglet à part ? Certainement le même qui a jugé judicieux de te faire repartir au début de la liste de formations (chargée via ajax) à chaque retour depuis la fiche. Là, on tutoie les dark patterns, mon con.Tu voudrais décourager l'utilisateur, tu t'y prendrais pas autrement.
Mais pitin, comment ça se passe ?!
Il y a quelques années, j'ai appris que la seule personne se chargeant d'aider les enseignants dans leur volonté de reconversion n'a pas été remplacée quand elle est partie à la retraite. Du coup, tu te retrouves sans interlocuteur spécialisé à qui poser tes questions ou qui puisse t'expliquer les choses dans des termes que tu sois susceptible de comprendre.
Du coup, je ne sais rien et les docs ne m'aident pas des masses:
Pour faire ma demande, je dois avoir choisi une formation, mais pour la choisir, dois-je m'inscrire à cette formation ?
si oui, comment ça se passera quand on me refusera mon congé de formation ?
quand paye-t-on cette formation ?
comment trouver un financement ?
le compte d'heures permet-il de financer tout ou partie de la formation ?
est-ce que le monde était vraiment obligé d'être si compliqué ?
En ce moment, j'essaie de me remettre à Java en reprenant les cours openclassroom... c'est un langage que je n'ai jamais utilisé et j'aimerais vraiment être en mesure de coder des applis pour Android...
J'ai bien sûr commencé par le cours de base, même si les concepts me sont familiers. Pourtant, une comparaison avec d'autres langages m'aurait bien simplifié les choses (comme pour python)
Une fois ces infos ingurgitées je me suis penché sur l'utilisation d'un IDE dans cet environnement.
Et bien j'ai plusieurs choses à dire.
tout d'abord, les «cours» en ligne s'apparentent à des tutos et parfois, c'est vraiment trop limité, en particulier quand on passe à côté de certains trucs: il manque la possibilité de poser des questions, comme dans un vrai cours.
ensuite, un reproche qu'on pourrait faire à tous ceux que j'ai vus (à part Grafikart pour les autres langages), je trouve qu'ils choisissent mal leurs exemples et leurs illustrations, en particulier pour les notions abstraites. Je trouve qu'on y gagnerait à partir sur un projet concret, à le faire d'une certaine façon, au niveau 1, pour en démontrer les limites dans certains contextes (dev pro ou en équipe par exemple), voir les problèmes et comprendre l'UTILITÉ de ces concepts pour résoudre ces problèmes... (les interfaces, les classes abstraites etc...) Souvent, les tutos se contentent de régurgiter la doc, c'est nul.
parfois, la progression me semble très irrégulière: passer des boucles/tableaux/tests/gestion d'erreurs aux abstractions les plus hautes d'un coup, ça plonge dans la perplexité.
pour openclassroom, les quizz finaux sont parfois très mal formulés ce qui fait qu'on ne comprend pas vraiment ce que l'auteur attend: pourtant, la clarté de rédaction des consignes me semble primordiale quand on a des prétentions didactiques.
Plus j'avance dans mon «étude» de Java, plus je rencontre de problèmes qui entravent la programmation elle-même: installation qui gâtouille, versions diverses... Et je ne parle même pas de l'utilisation d'un IDE qui multiplie ces difficultés et la complexité de leur résolution de plusieurs ordres de grandeur.
Les IDE, là, c'est des pitin d'usines à gaz ! C'est juste pas possible de démarrer sans avoir une courbe
d'apprentissage de l'éditeur qui ridiculise celle de dwarf fortress, la lisibilité en moins ! Et vas-y que je te fous des options de partout, des structures imbitables, des libellés pour Bac+15... Namého ! Même pour arriver enfin à pondre ton «hello world», t'en a chié des contrebasses. Quand tu viens du dev web, c'est un choc.
Java en lui-même... me semble vraiment... Moche. Je trouve la façon de coder inutilement verbeuse et lourde. Alors, je sais que c'est parce que je n'ai pas atteint le «point d'habitude» qui fait que tu ne vois plus les choses non pertinentes dans le cas qui t'occupe, mais bon: en général, en lisant un bout de code, j'arrive à piger ce que ça fait, à moins de me trouver devant un bout de JS de très haute volée. Là, ça me semble toujours plus compliqué que nécessaire...
Et là vous me direz «Mais qu'est-ce que tu nous pètes les gonades avec tes états d'âme sur l'apprentissage d'un langage dont tu n'as pas vraiment besoin et que tu n'es donc absolument pas obligé d'apprendre ?»
Déjà, je répondrais que c'est pas très gentil et que j'attendais plus de solidarité de la part des développeurs
J'avais juste besoin de me vider la frustration de ne pas pouvoir apprendre plus facilement un autre langage pourtant très utilisé.
«Windows 10 en mode S est conçu avant tout pour la sécurité et les performances, en exécutant exclusivement des applications du Microsoft Store.»
Là, on pourrait penser qu'à première vue, il suffit de décocher une case avec confirmation... Et ben non:
Sur votre PC exécutant Windows 10 en mode S, ouvrez Paramètres > Mise à jour et sécurité > Activation.
Dans la section Basculer vers Windows 10 Famille ou Basculer vers Windows 10 Professionnel, sélectionnez Accéder au Store. (Si vous voyez également une section « Mettre à niveau votre édition de Windows », veillez à ne pas cliquer sur le lien « Accéder au Store » qui s'affiche.)
Dans la page Sortir du mode S (ou intitulé similaire) qui s'affiche dans le Microsoft Store, sélectionnez le bouton Télécharger. Après qu'un message de confirmation sera affiché dans la page, vous serez en mesure d’installer des applications depuis l'extérieur du Microsoft Store.
autre astuce:
Pour éviter la création d'un compte micro$oft lors du démarrage, il suffit de ... couper la connexion internet et de choisir créer un compte, ce qui créera un compte LOCAL. (quelle merde, ce windaube) Par contre, l'astuce ci-dessus requiert le téléchargement via le windows store et donc... un compte crosoft.
A toi, site web, qui impose le choix de payer un abonnement ou d'accepter les publicités,
A toi, webmestre, qui impose trois popups plein écran avant de permettre l'accès à ton contenu,
A toi, "blogueur", qui propose xx solutions à un problème tout en mettant une solution par page pour multiplier les vues,
A toi, plate forme vidéo, qui m'impose plusieurs publicités invasives,
sache que quand tu fais ça, je ferme ton site et je n'y reviens jamais: je préfère me passer de ton contenu plutôt que de céder à la pression... tu sais pourquoi ? Parce que tu n'es pas indispensable, mon gros, je trouverai ailleurs le contenu que tu t'es sans doute contenté de copier d'un autre site.
De toutes façons, si tu ne proposes pas de flux RSS, c'est que ton but n'est pas d'aider et de partager mais bien de te gaver.
Et à toi, publicitaire de merde, qui fais pression sur tout un système pour diffuser tes annonces et vendre ta came, ne t'inquiète pas: je me souviendrai de ton produit: je ne l'achèterai jamais.
Comme mon cerveau ne cesse jamais vraiment d'avoir des idées et que le confinement est propice aux réflexions, à la créativité et aux projets, j'ai à l'idée de nouvelles applis de travail pour mes élèves.
Hélas, il me faudrait une bibliothèque JS qui me permette de faire de la synthèse vocale.
Mais attention, hein: je suis prof de langue, il me faut donc une synthèse vocale CORRECTE.
A la recherche de la bibliothèque perdue
J'ai eu beau chercher, je n'ai RIEN trouvé pour le moment, car il faut dire que je cherche une bibliothèque:
qui fasse bien son boulot: oui parce que la synthèse vocale de l'API native, pardon... je me croirais revenu à mon adolescence quand on faisait mumuse avec la synthèse vocale de l'atariST en écrivant «beesoo» pour obtenir un semblant de trucs vaguement compréhensible bien que particulièrement offensant à toute oreille humaine... Merci de ne pas plaisanter: nous sommes en 2021, j'estime pouvoir compter sur un minimum phonétique.
qui n'ait pas besoin d'un framework délirant pour fonctionner (genre REAC, Node.js etc). Si le projet doit embarquer plus de framework que de code natif et qu'il faut passer les six prochains mois à se former, je vois pas l'intérêt: une lib est censée FACILITER de travail.
qui n'utilise pas google: je chie à longueur d'année sur le G du gafam, c'est pas pour me précipiter dessus à la moindre déconvenue... ou alors en leur piquant une lib que j'hébergerais par la suite et qui ne fasse AUCUN appel à leurs serveurs.
qui soit gratuite: parce que. (oui, j'ai pas d'argument particulier mais j'aime pas payer des entreprises )
qui soit pérenne s'il s'agit d'un service tiers, je risque un beau matin d'en être privé sans prévenir et de me retrouver grosjean comme devant.
Bon, on ne m'enlèvera pas de la tête que c'est pas super intuitif, ni super simple, mais bon, je n'ai trouvé que ça qui fonctionne...
Mon souci
Je crée une image côté navigateur avec canvas
je veux l'envoyer à mon serveur pour stockage
On pourrait croire que c'est simple, hein... ben j'ai pas trouvé, personnellement.
J'ai essayé
de transformer le canvas en blob et de l'envoyer via un formdata
de transformer le canvas en blob et de l'envoyer comme un objet simple
de transformer le canvas en DataURL et de l'envoyer via un formdata
de transformer le canvas en DataURL et de l'envoyer comme un objet simple
Mais à chaque fois, j'ai pas été foutu de récupérer les données côté PHP (bon, je me doute qu'il doit y avoir un pacson de trucs que j'ignore encore, hein...)
Ensuite, j'ai pensé
«et si je passais les données au format base64, je devrais pouvoir les récupérer facilement...» car je pratique couramment un optimisme ridicule au sujet duquel il m'arrive encore de sombrer dans la stupéfaction à grand fracas...
Dont acte: je recommence à farfouiller avec des fetch, des posts pis tout mais sans succès: les données décodées font une image invalide.
en désespoir de cause
Je décide de procéder moins élégamment: je copie les données vers un formulaire caché que je poste en target blank pour pas perdre ma page de travail... Oui, je sais, c'est sale, c'est moche, c'est pas secure, j'en ai conscience, c'est pas la peine de m'enfoncer, j'ai déjà assez honte comme ça...
Je reçois bien de la base 64, je décode... Et l'image n'est toujours pas valide. Puis une recherche m'apprend qu'il faut virer l'en-tête base64 côté serveur avant de décoder pour que ça fonctionne...
Entre les navigateurs «legacy» qui veulent au max du 32x32, les apple qui demandent du 180x180 (c'est quoi ce format perso de merde à la apple), les webapps android qui réclament du 192x192 et du 512x512, les windows Tile, les Safari pinned (sans compter les trucs expérimentaux) et le fait que l'ensemble doit être déclinable en dark-mode ou bright-mode, ça en fait des icônes...
Genre, on se retrouve à charger plus lourd en favicon qu'en contenu pertinent et utile... tout ça pour afficher une icône dans l'onglet du navigateur ! Une trentaine d'icône pour être sûr que l'image elle sera zoulie partout... (on se croirait revenu au temps de la rétrocompatibilité IE6-8).
Heureusement que l'auteur nous annonce que les favicons sont chargées en background par le navigateur et n'affectent pas l'expérience utilisateur...
On est en 2020 les mecs
Genre, vous pourriez utiliser globalement le svg pour avoir un rendu joli quelle que soit la taille et c'est marre. Alors je sais, on a - globalement - des connexions de fifous qui s'accommodent de cette surcharge, mais:
justement, pas tous: beaucoup n'ont pas des connexions de privilégiés; la campagne, les zones blanches, les pays en voie de développement etc... C'est pas cool de leur imposer des surcharges.
ça me rappelle les développeurs qui tablent sur le perfectionnement technologique des machines pour pas s'emmerder à optimiser leurs bouzins en se disant que ça tourne sur leur bécane à 4000 boules.
c'est du loose-loose: les devs s'emmerdent avec des brouettées d'icônes aux formats les plus strange qui soient et les utilisateurs se font bouffer le forfait 2€ free juste pour charger l'icône du site... Le jeu n'en vaut pas la chandelle: il y a sans doute de meilleurs emplois du temps de dev et de la bande passante.
Heureusement
...l'auteur propose de limiter à 5 le nombre d'icônes (avec un fichier manifest)... c'est déjà ça.