Donc on en est là: créer des applis et des appareils qui parlent en même temps que vous pour parasiter les IA de reconnaissance vocale.
En creux, ça veut dire qu'on a renoncé à les virer complètement ou à garantir qu'elles ne soient pas une intrusion dans la liberté des gens..
Déjà, quand plusieurs personnes parlent autour de moi ou qu'il y a des bruits parasites (c'est à dire N'IMPORTE QUEL bruit) j'en suis réduit à regarder la bouche de mon interlocuteur pour me concentrer sur ses mots à lui, mais alors si en plus les applis se mettent à parler à tort et à travers...
@Sammyfisher C'est clair ! Qu'ils restent dans leur merde et qu'ils y crèvent. C'est parce qu'ils pensent tous uniquement à leur petite gueule, leur petite carrière sans se soucier des dégats, sans aucune conviction politique réelle qu'on en est tous là...
Tu te rappeles petit PS quand tu as lâché ton propre candidat pour rejoindre les rangs de la Macronie ? Ben on n'a pas oublié. (idem pour le côté droit)
Vous ne pouvez plus rembourser vos fais de campagne ? Ben on va faire comme vous pour les 10 millions de gens qui vivent sous le seuil de pauvreté: on va s'en foutre et on va regarder ailleurs. Perso, je vais même me faire du popcorn pour accompagner le spectacle de votre déroute.
Résultats dans ma commune de fachos.. C'était prévisible vu que seules les affiches fachistes n'avaient pas été vandalisées et qu'aux précédentes élections lepenis avait fait 55%
N'empêche, je suis écoeuré.
Je me suis promis de voter blanc dans ce cas, lassé de me faire voler encore mon vote.
Bon, celle-là est magnifique aussi !
Macron et les candidats VS un mec qui chasse les ours torse nu...
'tain, je suis mort de rire.
Jaune, hein, mais mort de rire quand même...
De toutes façons, je finis par ne plus écouter la radio non plus... France Inter qui déroule régulièrement le tapis rouge à la droite et l'extrême droite en donnant le sentiment que rien n'est en proportion avec ce qu'ils font pour la gauche.
«Un mensonge répété dix mille fois devient vérité»
C'est triste de voir que la radio publique participe à cette répétition que vantait Goebbels en évitant soigneusement d'en démonter le contenu. Pire: c'est criminel.
Dernière citation pour la route et dont les «journalistes» de France Inter devraient s'inspirer:
«Si une personne dit qu'il pleut et une autre qu'il fait beau, le boulot du journaliste ce n'est pas de citer les 2, c'est de regarder par la fenêtre et de dire qui à raison.»
Plus ça va plus je crains une tentative de coup d'état.
En même temps je ne peux pas m'empêcher de penser que ça tombe à point nommé pour attiser un peu la trouille de l'extrême droite sans laquelle Macron ne pourra pas être réélu.
La peur de Lepen ne suffit plus ? Et si je vous colle du chihuahua néonazi, c'est bon ? Pas sûr ? Bon, mais si je vous ajoute des attentats de groupes paramilitaires fachos armés jusqu'aux dents pour le même prix, ça le fait, non ?!
Ça faisait longtemps que j'avais pas fait une petite compilation des trucs de la river... J'en avais commencé une en 2019 puis j'avais lâché l'affaire...
Quand tu apprends que plus de vroum, c'est mieux
Dites-moi que ce n'est pas vrai. S'il vous plaît, mentez-moi s'il le faut, mais dites-moi que c'est un Gorafi.
Donc on AJOUTE du bruit pour gonfler l'ego du gros con qui conduit ?! On en est là: faire PLUS DE BRUIT SANS CONTREPARTIE quitte à ce que ce soit PLUS CHER.
On s'approche de la fin, clairement. Il n'y a plus rien à attendre de l'espèce humaine.
Surtout quand on voit les grosses ficelles du second tour approcher
Les médias continuent à pousser monsieur Z, aka le chihuaha hystérique, devant les projecteurs alors qu'il vomit sa merde haineuse, misogyne, raciste, homophobe à longueur de journée...
A votre avis, pourquoi ?
▢ A côté de lui, Lepen à l'air raisonnable (oh, comme avec Christine Boutin la fois d'avant, dis donc !)
▢ Il remplit son rôle d'épouvantail pour que Macron ait l'air d'un homme providentiel (vu que de plus en plus de gens disent qu'ils n'iront pas voter pour Macron en cas de face à face avec Lepen, il faut fournir pire, il faut donner de l'inacceptable)
▢ C'est du winwin: Macron prend des points, monsieur Z a sa dose d'attention et les télés font de l'audimat...
▢ Une part de plus en plus importante des français se fout qu'il dise la vérité ou pas du moment que la formulation fait vrai (vive la rhétorique)
▢ Comme il est ouvertement raciste/homophobe, qu'il l'assume avec décomplexion, qu'il le revendique, c'est plus facile pour tout le monde d'assumer son racisme et son homophobie quotidienne sans culpabiliser
▢ autre: (yen a plein mais j'ai déjà envie de gerber)
Petit rappel, Macron cherchait il n'y a pas si longtemps à réhabiliter Pétain... souvenirs souvenirs...
Religion: rien de neuf sous le soleil
La Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église a rendu son rapport. Une étude estime que 330 000 mineurs ont été victimes de violences sexuelles au sein de l’Église depuis 1950, dont 216 000 de membres du clergé.
Si les chiffres sont effroyables à tous égards ils ne sont pas surprenants: tout le monde savait. Simplement, maintenant, ils ne peuvent plus le nier.
Heureusement, ce gros con va être reçu par Darmanin (LOL) pour qu'on lui explique la Loi:
«le fait, pour quiconque ayant connaissance d'agressions ou atteintes sexuelles infligées à un mineur de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives (…) est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende". Les peines montent à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende quand les infractions qui ne sont pas dénoncées sont faites sur un mineur de moins de 15 ans. source
Donc, nanar a lâché la rampe. Ok. On lui fait un hommage national ?!
Heuuuuu... c'est pas un peu abusé de rendre tous ces hommages à un gars qui reste malgré tout un gros magouilleur dégraisseur d'entreprise et détourneur de pognon ? Non ?! ha, bon.
Puisqu'on parle de détournements
On m'apprend dans l'oreillette que les panama papers c'était juste un échauffement... Une liste longue comme le bras de politiques qui foutent du pognon à l'abri des impôts et des regards inquisiteurs de la justice dans une impunité totale.
Ce qui est fou, c'est qu'on retrouve dedans des gens dont on espérait au moins - à défaut d'être punis comme n'importe quel croquant citoyen lambada - qu'ils disparaîtraient de la circulation, honnis et méprisés, lâchés par leurs soutiens sous les crachats de la foule.
Penses-tu ! Revoici Cahuzac, ancien ministre du budget responsable de la lutte contre l'évasion fiscale lui-même évadé fiscal qui suppliait naguère qu'on ne l'envoie pas en prison ouinouin... Revoilà DSK, le pervers du FMI, violeur et sex addict dont les accointances avec le milieu des macs (pas les ordis hein) auraient dû lui valoir de se retrouver entre les bras de détenus pour une étreinte furtive sous la douche et qui - au lieu de cela - fait des conférences qui lui permettent de se goinfrer de pognon sur un compte non imposable...
Non seulement ils se goinfrent mais en plus ce sont ceux-là qui expliquent aux autres qu'il faut respecter la loi, être honnête, ne pas voler et qui traitent d'assistés ceux qui galèrent avec le smic, le chômedu, les allocs comme si c'était une manne parfaitement injustifiée.
De toutes façons, comme le disait Macron lui-même, si les gens sont pauvres, c'est leur faute: il suffit d'être riche (je résume, hein):
Et après, il faudrait continuer à voter comme si tout ça avait le moindre sens... comme le dit Pierre Emmanuel Barré:
D'ailleurs, dans son spectacle Super Héros, Frédéric Sigrist parle d'un changement radical dans la société: on est passé de gens qui s'identifiaient à Batman (au héros) il y a trente ans à une génération qui s'identifie au Joker, le «vilain»... Il représente le chaos et il est le seul qui perçoit l'absurdité du monde.
Je vous recommande vraiment ce spectacle dans lequel tous les nerds de ma génération vont sans doute se retrouver.
ça me rappelle une blague de l'époque de Jacques Chirac qui résume bien l'opinion que j'ai de la majeure partie de la classe politique
Notre président inaugure une usine à la pointe de l'innovation qui expérimente une technique révolutionnaire de recyclage de la merde en chocolat.
On lui montre les bacs de décantation de la matière première, les labos de traitement, les chaînes de production et d'emballage... la visite dure plusieurs heures.
Enfin, il arrive dans la partie magasin de l'usine pour une séance de dégustation; on lui tend une tablette flambant neuve à peine sortie de la chaîne de production, il défait méticuleusement l'emballage en prenant soin de ne pas déchirer le papier devant les caméras, le porte à ses lèvres, croque dedans... Puis il recrache la bouchée à peine mâchée en criant:
Ya pas longtemps, je lisais les articles sur les gens qui s'inscrivent pour aller sur Mars en me disant «pourquoi aller là-bas, si c'est pour y mourir ?»
Il ne faut pas écrire quand on est en colère: on a tendance à sur réagir et à laisser parler ses sentiments exacerbés.
Mais bon, là, si j'attends de ne plus être en colère, j'ai l'impression que ça va prendre longtemps.
Attention, billet un peu long risquant de provoquer des haut-le-coeur
Explication
Il y a quelques jours, en revenant vers la salle des profs, je trouve deux élèves de troisième - deux jeunes filles, ce détail a son importance - en train de rédiger un texte apparemment très long, installées sur la table se trouvant dans le hall d'entrée devant le bureau de la CPE. Connaissant les deux élèves pour les avoir eues en cours l'année dernière, je m'étonne de leur présence à cette table, d'ordinaire réservée aux élèves exclus ou punis.
En effet, il s'agit de deux élèves studieuses, matures, attachantes, souriantes... toujours agréables et bien élevées, jamais discourtoises, toujours appliquées et soucieuses de leur scolarité, jamais impliquées dans les embrouilles coutumières de leurs camarades. Que qui que ce soit ait pu trouver quoi que ce soit à redire à leur sujet m'étonne tellement que je m'arrête pour m'enquérir, tout sourire, de la raison de leur présence à cet endroit: elles me rassurent en me disant qu'elles ne sont pas punies mais que la vie scolaire leur a demandé d'écrire un rapport sur un incident.
L'une d'entre-elles a subi les insultes d'autres élèves du collège, majoritairement des garçons, sous prétexte qu'ils n'aimaient pas leur tenue. Quand je dis insultes, on peut y trouver le florilège habituel des mous du bulbe fiers d'avoir un zizi du genre : «je vais te bouffer la chatte», «je vais te fourrer le cul», «salope» etc. Vous voyez... du Rimbaud.
Il me semble bon d'ajouter que dans le lot de ces gentlemen se trouvent plusieurs cas à qui la direction a laissé la bride sur le cou par peur des parents même après des violences verbales, des menaces envers les élèves et les adultes, des provocations à n'en plus finir, de fausses lettres d'excuse dans lesquelles l'élève se foutait ouvertement de nous etc. En gros, à l'opposé du spectre par rapport à nos deux victimes.
C'est déjà suffisant pour s'énerver mais j'ai plus...
Confiant dans l'équipe de mon collège, je rassure les élèves, leur témoigne mon soutien sans réserve et leur conseille de ne rien omettre dans leur rapport.
Plus tard, je croise un des assistants d'éducation qui m'explique qu'il n'a même pas eu le temps de lire les rapports tant la direction s'en est emparé rapidement... puis il m'annonce que les filles ont été reçues par l'infirmière scolaire et par la direction. Individuellement.
Oui, l'équipe de direction au grand complet - fait très rare chez nous - reçoit des mômes individuellement... vous sentez venir le procès ou pas ?!
Et si je vous dis que l'infirmière à reproché à la gamine - à la victime donc - de ne pas porter de soutien-gorge, vous en êtes où dans l'indignation ?
Et si j'ajoute que le chef d'établissement lui-même aurait dit qu'«elles l'ont un peu cherché» ? Devant la môme.
Les petites sont sorties en pleurant, on se demande bien pourquoi.
«mais avaient-elles une tenue indécente ?» demandez-vous (ou pas)
Bon, alors, déjà OSEF de ce que les autres pensent de leur tenue du moment qu'elles ne font pas d'exhibitionnisme.
Mais je vais répondre malgré tout: NON. DÉFINITIVEMENT NON. CATEGORIQUEMENT NON.
Premièrement, seule l'une d'entre-elles s'est vue reprocher sa tenue: l'autre n'a fait que soutenir son amie face à l'injustice et contre tous les autres. Au lieu de reconnaître son mérite et de valoriser son courage, l'infirmière lui aurait dit «mais toi tu mettrais ça ?» histoire de la culpabiliser et de tenter de pourrir la relation. J.O.I.E.
Pour être clair: la gosse portait un legging et un T-shirt un peu moulant. Mais hélas pour elle, elle ne portait pas de soutien-gorge. Et du coup, comme son haut était moulant... voilà.
Il faut savoir - même si là aussi OSEF dans le principe - la petite n'a absolument aucune intention de se «sexualiser» ou de «provoquer» (rien que ces termes m'agacent tant ce sont ceux qu'on trouve chez ses adversaires). Pire: issue d'un milieu très modeste, elle n'a probablement pas beaucoup de vêtements... ses parents habillent la famille chez les fripiers ou dans les marchés du coin. On n'est pas en train de parler d'une enfant gâtée qui porte pour deux barres de fringues sur elle mais d'une petite pauvre qui voit dans l'école sa seule chance d'ascenseur social... (ça me fout envie de pleurer)
Et les agresseurs dans tout ça ?!
Haha.
Ils ont été reçus.
Voilà. c'est la seule info.
Là, à J+4, aucune sanction n'a été prise à l'encontre des bourreaux.
L'indignation au max
J'en suis à un stade d'indignation que je n'avais pas atteint depuis très longtemps: j'ai un attachement affectueux avec mes élèves, je les regarde tous comme on regarde des enfants qui grandissent, avec une ferme bienveillance et, toujours, à l'esprit, les valeurs d'égalité, de fraternité et de liberté. Je les regarde avec la même bienveillance et le même attachement qu'ils soient garçons, filles, pauvres, riches... ces aspects ne comptent pas à mes yeux: seule la relation que je tisse avec eux importe, ainsi que les valeurs qui encadrent ces relations.
Du coup, je ne pose pas de regard sexualisé sur eux: dans mon esprit, ce sont des enfants. Imaginez quand tout d'un coup, ce genre de choses se produisent: je ne l'ai pas vu venir... parce que j'en suis incapable, comme si c'était hors de propos, hors contexte. Par conséquent, ça heurte mon humanité encore plus violemment.
Donc, non seulement l'établissement n'a rien fait pour les protéger mais en plus les adultes censés les soutenir les ont culpabilisées, les adultes censés maintenir la justice n'ont toujours pas puni les coupables, l'institution entérine le discours d'oppression masculine et les pousse à bien intérioriser que quoi qu'il arrive, ce sera un peu de leur faute et qu'on n'a pas le droit de s'indigner et de s'élever contre les injustices.
Des collègues remontés... mais pas tous !
Dans mon collège, la salle des profs est divisée en deux. Même physiquement. Pour faire simple, il y a les gros lèche - dont la langue est si proche du cul du chef qu'on se demande où il commence et où ils finissent - qui diront amen à tout et trouveront toujours des excuses à la direction et puis il y a nous, le noyau dur.
Du côté des lèche, sans surprise, on a entendu des «oui... mais tu compreeeeends, faut faire attention avec les gaaaaarçoooons...»
Non, ta gueule.
Il faut ÉDUQUER les garçons... pas DEMANDER AUX FILLES D'ÉVITER DE LES «PROVOQUER»
De notre côté, la situation provoque des remous indignés et, quoi qu'il se passe, au minimum, nous témoignerons notre soutient aux gamines. On a passé les deux derniers jours tendus comme des arbalètes.
On réfléchit à des mesures à prendre même si certains, connaissant la direction, disent qu'il faudra avoir des témoignages directs et signés pour pouvoir faire quoi que ce soit.
Pour ma part, je pense à écrire un courrier collégial pour demander des explications à la direction... à minima.
Conclusion
Quand je pense au nombres de trucs qu'on nous demande de faire pour lutter contre le harcèlement... des cours, des discussions, des «journées tous contre le harcèlement», des expos, des intervenants extérieurs... pour finalement se comporter comme ça quand il s'agit de passer à l'action et de mettre tous ces bons sentiments en oeuvre...
Dire qu'on a même un «référent pour l'égalité fille garçons»... un copain du chef. Un gars dont plusieurs filles se sont plainte depuis des années des regards gênants qu'il leur lance et des «blagues» qu'il ferait... Quand je l'ai appris, j'ai failli m'étouffer.
Et en plus, quand on voit la dégaine de notre chef: pantalon micul, chemise sortie devant mais rentrée dans le boxer derrière, tâche de pisse au niveau de la teub (vision d'horreur de la prérentrée)... je me demande s'il est le plus à même de commenter la tenue vestimentaire de ses contemporaines.
Pourtant, si ces gens réfléchissaient, s'ils réfléchissaient VRAIMENT, il y a un bon début, une question tout simple à se poser pour commencer à chercher si on n'est pas dans l'erreur:
«est-ce que je réagirais pareil si c'était un garçon ?»
Parce que des gars qui arrivent avec un t-shirt moulant et dont on voit les tétons, on en a plein... Des mecs habillés en shorts dégueux avec des claquettes chaussettes à qui on ne fait aucune remarque, c'est tous les jours...
Et où est-ce que c'est écrit que les femmes DOIVENT OBLIGATOIREMENT porter un soutien-gorge ? Parce que si elles sont obligées pour qu'on ne voie pas leurs tétons, je veux - au nom de l'égalité des citoyens - que les garçons aussi en portent.
Pour ma part, je n'aimerais pas voir des croptops en classe. Mais pas pour les garçons non plus: j'estime qu'il y a des partie du corps de mes élèves que je n'ai pas à voir (et réciproquement). Qu'ils soient fille ou garçon. (j'ai encore le souvenir épouvanté de l'époque de la mode des frocs en bas du cul avec boxer dégueu qui dépasse)
Si on accepte le principe qu'on a le droit d'imposer et de commenter la tenue vestimentaire des filles mais pas celle des gars, pour arriver aux talibans, ce n'est qu'une question de curseur... (oui, je suis très en colère... mais je l'ai dit depuis le début)
J'espère que les prochains jours viendront nuancer mes propos et qu'en fait on me prouvera que tout a été largement exagéré... j'espère que bientôt je me dirai «t'as été con de sur réagir finalement, tu vois» J'espère que les prochains jours me donneront tort d'avoir posté ce billet sous le coup de la colère.
Un googledoc, certes, mais d'utilité publique: il recense l'ensemble des saloperies de Macron et de ses sbires en matière de casse
sociale et de néolibéralisme.