Wow ! Trop bien ça ! Les colonnes se réorganisent automatiquement en lignes ... Merci copain !
Hop, dans mon snippetvamp !
Pour toute personne ayant envie de sourire - voire de rire - aujourd'hui, je partage la chaîne de Tim, un Anglais qui imite à la perfection un enfant de «trois ans bientôt six» et fait des blagues aux gens...
Fous rires garantis
Il était passé complètement à côté, le Bronco...
J'ai trouvé le film long et le côté déjanté, appréciable au début, a fini par me perdre...
Tu m'as donné envie de lui redonner une chance, en particulier pour le personnage de Waymond ... Allez, dès que je suis assez en forme pour pas m'endormir à 21:00 devant l'écran.
Je viens de terminer last of us et je pense qu'il s'agit de la meilleure série que j'ai vue.
Je n'ai jamais joué au jeu ce qui fait que je n'avais aucun à priori, positif ou négatif. Toutefois, le scénario est solide, l'histoire bien racontée, les flashbacks particulièrement bien amenés... l'ensemble est cohérent et remarquablement bien rythmé. On ne s'ennuie pas, toutes les digressions servent la narration.
On retrouve beaucoup de références aux films de zombie mais tout est amené et utilisé de façon si subtile et intelligente que jamais on ne se dit «personne ne fait ça!». Mieux, on retrouve souvent le personnage en train de faire ce à quoi on pensait la minute d'avant... bâtir un scénar solide et une histoire qui tient la route avec des personnages qui font ce que ferait une personne normale à ce moment là: voilà une recette efficace pour maintenir le spectateur dans l'histoire.
Pas de manichéisme ici: difficile de juger et de condamner les personnages tant ils naviguent dans le gris. Ni bons ni méchants, juste des gens qui cherchent à survivre et la morale «habituelle» n'est pas forcément celle qu'on retient. Les personnages sont remarquablement humains, en particulier les personnages principaux, qui évoluent ensemble au fil des neuf épisodes.
Il y avait longtemps que je n'avais pas vu d'aussi remarquables acteurs: Bella Ramsey et Pedro Pascal sont tout simplement exceptionnels. Leur jeu évolue tout le long des épisodes de façon très subtile et humaine. Les meilleurs moments se passent même de dialogues et leur jeu comble les non dits: on voit comment l'homme redevient progressivement père et comment la jeune adolescente devient petit à petit la fille du premier. C'est tout simplement magistral.
Ce que j'ai particulièrement apprécié, c'est l'absence de volonté de montrer des gens sublimes: au contraire, on se sent proche de ces personnages imparfaits, non maquillés et loin des gravures aux corps parfaits qu'on nous impose à chaque fois. On se sent proche d'eux et on les aime, plus sincèrement à chaque épisode. Bella Ramsey est parfaite et son jeu est impressionnant de naturel. Elle EST Ellie, dans toutes ses dimensions humaines - faiblesses comme forces. Pedro Pascal n'est pas en reste: on retrouve dans son jeu tous les sentiments d'un père ayant perdu sa fille dans un monde détruit et qui retrouve une raison de vivre avec l'arrivée d'Ellie.
Merci à eux deux pour cette prestation sans faille. J'en ai encore la gorge serrée.
Certains épisodes racontent l'histoire parallèle à celle des personnages principaux, mais pas comme une digression... plutôt comme le complément qui montre que l'histoire d'une personne ne saurait être séparée de celle de son entourage.
Je retiens en particulier l'histoire d'amour de l'épisode 3: ce que je reproche souvent aux séries et films mettant en scène l'homosexualité, c'est de le faire de façon parfaitement artificielle, comme un prétexte pour être à la mode, une façon un peu racoleuse de tenter de séduire un public ciblé pour vendre sa came. C'est moche, sans saveur et, surtout, ça n'apporte strictement rien à l'histoire.
Ici, tout est parfait: leur rencontre, la sensibilité, la simplicité et l'humanité avec laquelle leur histoire est racontée, la beauté et le romantisme, le vrai, qui marque leur histoire... Au bout du compte, la série choisit de montrer ce qu'il y a de beau à sauver dans l'humanité en montrant deux hommes qui s'aiment. Jamais de voyeurisme, jamais de grandes phrases. En plus on choisit un survivaliste - parangon de virilisme habituellement - pour cette histoire. Magnifique et habilement mené. J'en ai eu les larmes aux yeux.
On notera également la suggestion des sentiments naissants d'Ellie pour son amie, là aussi si subtils qu'on ressent l'émotion de nos propres premiers émois amoureux. Magistral de simplicité, de naturel et d'humanité.
En fait, tout est là: le regard posé sur les personnages est toujours bienveillant et compréhensif, sans artifice, sans complication, sans clichés et c'est là la remarquable maîtrise qui rend l'ensemble si exceptionnel.
Merci pour ces neuf épisodes, merci pour cette fin, merci pour Ellie, pour Joe, pour Bill et Frank... Merci pour ces moments et pour l'attachement à ces personnages.
Désormais, toutes les séries devront se mesurer à l'aune de Last of Us à mes yeux.
Clamp permet de spécifier trois valeurs pour une propriété : la valeur minimale, la valeur préférée et la valeur maximale.
Ainsi, on pourra donner des tailles fixes comme minimum et maximum et une taille variable (pourcentages ou valeur de viewport) comme valeur préférée: la valeur variable sera utilisée, mais bornée au minimum et au maximum.
ex: clamp(20px, 5vw, 54px)
On peut faire des calculs directement dans clamp() : font-size: clamp(20px, 16px + 5vw, 54px);
Clamp peut être utilisé sur les paddings, les margins etc... Tout ce qui a une valeur numérique (length, number, percentage...)
Vraiment passionnant et complet... On comprend mieux comment tout fonctionne...
La méthode permettant d'«halluciner» une image à partir de bruit est à la fois impressionnante d'ingéniosité et sidérante de simplicité dans son concept...
Ouelcome back copain !
Je partage ton avis sur Dieu David Gemmell et celui qui est sur les quatrième de couv' de ses romans: «on a envie de croire que tout cela fut vrai tant c'est beau»
Écriture simple et claire mais jamais simpliste, univers cohérent (c'est pas si souvent), personnages forts mais humains... <3
Et Pratchett aussi ! (j'ai - encore - recommencé la lecture des annales du disque monde... )
😍 OMAGAD 🤩 Les répliques cultes de Kaamelott en gif animé prêts à poster sur... dans...
Mais PARTOUT PITIN !
Quel travail de ouf ! Ça fourmille de détails !
Hier-soir, on a regardé un petit feel good movie français: Les folies fermières.
C'est l'histoire d'un jeune fermier dont l'exploitation va être saisie et qui cherche des moyens d'éviter la faillite... pour cela, il décide, contre l'avis de sa famille, de transformer sa ferme en cabaret et de monter un spectacle à partir de rien.
c'est un film qui ne cherche pas les effets comiques lourdingues ou absurdes, la caricature voire les clichés pour faire rire aux dépend de qui que ce soit. Les moments drôles le sont à cause de la situation.
Il y a de nombreux moments d'émotion qui alternent avec des instants drôles ou attendrissants. On ne s'ennuie jamais et à aucun moment on ne sent de longueur: c'est suffisamment rare pour le souligner.
Les acteurs et la réalisation sont extraordinaires de sincérité: au bout de quelques minutes, on oublie qu'il s'agit d'acteurs qui jouent un rôle. On a rapidement l'impression de voir des amis et on se prend d'affection pour eux. Ils sont présentés et abordés avec une grande humanité et entretiennent des relations et des liens pleins de hauts et de bas, de réactions parfois épidermiques mais toujours authentiques et bienveillantes. On se sent proche d'eux dès le début du film et on les connaît en quelques minutes.
Tous sont vraiment très bons mais j'ai une mention spéciale à Alban Ivanov qui prouve qu'il sait jouer juste sans en faire des tonnes et à Sabrina Ouazani, pour sa prestation physique bien entendu, mais surtout pour sa justesse de ton, son naturel, sa présence à l'écran... J'ajouterais également Philippe Benhamou, transformiste imitant Dalida, dont le jeu chaleureux et le visage d'une intense expressivité concourent vraiment à l'ambiance humaine du film.
Non seulement le film n'utilise pas de clichés éculés pour faire rire, mais il joue avec certains d'entre eux sans jamais sombrer dans la facilité ou le pathos. Pourtant, quand on démarre, on a peur de voir:
Et bien non: les clichés sont élégamment évités et discrètement remis en question:
Tout cela est suggéré à l'attention, comme un clin d'oeil complice mais sans grossir le trait, subtilement.
C'est un film honnête, humain, sensible et juste. On aimerait participer à cette aventure, manger avec eux et faire partie de ce groupe. Un film sans meurtres, sans flics, sans méchants, sans rapports manichéens, sans angoisse... ça fait du bien...
Un wiki en une page html qui contient aussi l'éditeur permettant de le modifier (ajout/edition de pages, markdown etc) pour moins de 60ko.
Bim !
@Antichesse (o ^ω^ o) Lol ! Je suis heureux d'avoir contribué à un rire ! C'est pas si souvent qu'on a des satisfactions en ce moment ;-)
On ne se connaît pas, mais c'est à la faveur de moments et d'attentions comme ceux-ci qu'on tisse des liens ... Dans mes bras camarade ! o/
OMAGADOMAGAD;;
Je confirme ton opinion @sammy: un excellent roman de hard SF qui, si vous parvenez à entrer sans être dérouté par le style et l'univers... il vaut VRAIMENT le coup.
Si vous avez marre des univers prévisibles et sans imagination, si vous pestez contre les romans peu crédibles ou accumulant les invraisemblances, si vous avez envie de dépaysement littéraire... lisez le problème à trois corps.
Par contre, pour un gars qui a des difficultés à retenir les noms, c'est l'enfer !